Céleste, ma planète
L’histoire se passe dans le futur, où les tours d’entreprises immenses sont très nombreuses et où la pollution étouffe les neuf milliards d’habitants sur la planète.
La mère du narrateur travaille dans l’entreprise !Industry, où elle a une haute place : elle ne voit donc quasiment jamais son fils, et c’est sa secrétaire qui s’occupe de lui au téléphone. Le narrateur n’est pourtant pas tout seul : son ami Briss, un gourmand, vient souvent chez lui et lui vide son frigo.
Un jour, le narrateur va à l’école au cent quinzième étage d’une tour, lorsqu’une nouvelle élève se présente. Elle s’appelle Céleste, et le narrateur ne peut résister à son charme, alors qu’il s’était promis de ne plus tomber amoureux depuis ses six ans et demi. Mais Céleste part le midi et ne revient pas après. Alors il ne peut s’empêcher de penser à elle, et finalement, il tente de la retrouver, sans savoir qu’il n’est pas au bout de ses surprises…
Le livre parle d’une histoire d’amour, mais se transforme en « récit écologique », en respectant néanmoins la douceur et la poésie du texte.
Le livre est très court mais tout aussi intense, et on passe souvent et rapidement d’une péripétie à une autre.
J’ai apprécié l’écriture de Timothée de Fombelle, auteur connu que pourtant je ne connaissais pas, et je pense que l’on devrait appeler ce livre « fable ».
Gallimard, Folio Junior, 2009
Déjà 3 Réponses
16 octobre, 2009
13 h 34 min
qu’elle était ce genre de livre action ou documentaire
20 octobre, 2009
12 h 08 min
C’est un roman fictif mais l’histoire est juste un prétexte pour introduire le débat écologique.
6 décembre, 2009
19 h 38 min
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