Les Chevaliers d'Emeraude, tome 2 : Les dragons de l'Empereur noir
Les Ecuyers d’Emeraude sont devenus Chevaliers de la seconde génération, et de nouveaux Ecuyers ont été attribués aux deux générations.
Certaines attaques de dragons ont été recensées dans Enkidiev, mais neutralisées par les pièges et par les Chevaliers.
Les Chevaliers sont occupés avec les dragons, et le roi est affairé : Kira se sent seule au château, et pour combler son ennui, elle fouille dans la partie interdite de la bibliothèque (elle est interdite par le magicien Elund, car elle regorge de grimoires très anciens et très importants) pour avoir un nouvel ami…
Kira sort du château, et découvre un magnifique étalon noir, elle le monte et fait le tour du château avec lui. Elle est repérée, mais pour les Chevaliers, Elund et le roi, pas de doutes : ce n’est pas un chevalier mais un dragon de l’Empereur noir ! On découvre alors que plusieurs dragons semblables ont été vus dans les royaumes d’Enkidiev. Les Chevaliers s’affairent à découvrir les raisons de ces présences (alors qu’il a des pièges sur les côtes).Pendant les recherches, les Chevaliers aperçoivent une étrange présence, ressemblant à un corbeau, et elle s’avère être plus qu’anormale…
Ce deuxième tome des Chevalier d’Emeraude est beaucoup plus intriguant que le précédent, notamment avec l’arrivée d’un nouveau personnage, ce « corbeau » (c’est celui qui est au premier plan de la première de couverture).Je regrette cependant que les recherches effectuées sur la présence des dragons dans les terres ne soient que des péripéties de « passage », qui servent à joindre deux péripéties dans l’histoire, et qu’elles n’aient pas de grandes conséquences, à part l’arrivée du nouveau personnage. Espérons que le tome trois en fasse autant, voire plus.
Michel Lafon, 2007
Déjà Une Réponse
22 janvier, 2009
15 h 14 min
Ce livre est très intéressant car dès les premières lignes il y a du combat, ensuite ça se calme, mais il y a beaucoup d’action. Je le conseille à ceux qui aiment le combat et aux gros lecteurs.
Quentin Canaple
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